Quelques lignes pour nous instruire davantage sur ce phénomène climatique nécessaire à notre survie. Une vision globale, sans bla-bla scientifique!
La pluie est synonyme de précipitation d’eau. Elle entre dans le circuit fermé et nécessaire à notre survie : le cycle de l’eau. La pluie tombe des nuages sous forme liquide pour ainsi réhydrater la terre et ses hommes.
On dit que la pluie est polydisperse ; la taille des
gouttes peut varier fortement.
Dans un nuage froid, les gouttelettes peuvent même
rencontrer un noyau de congélation et se transformer alors en grêle.
Il faut bien comprendre que lorsque l’air est
particulièrement chaud, la grande majorité de l’eau n’atteint pas le sol et s’évapore
directement pour rejoindre les nuages.
La pluviométrie est la façon moderne de mesurer le taux de
précipitation d’une région. Un pluviomètre va ainsi mesurer la hauteur de l’eau ;
1 litre/m² = 1 mm.
En Europe, la pluie est généralement soulignée d’une
connotation négative. Seuls certains gardent des valeurs d’apaisement, de
propreté. Il n’y a que le soleil qui est synonyme de joie.
En Afrique et dans les régions les plus sèches de l’Asie, la
pluie est au contraire une bénédiction. Elle est source d’activité économique
et de ressource en eau potable.
Le développement urbain pose des problèmes ; l’eau ne
peut plus s’infiltrer dans le sol et un réseau d’assainissement doit alors
assurer la gestion des précipitations. Les sols rendus étanches par le béton et
autres constructions augmentent le risque d’inondation ainsi que les coûts de
gestion, la pollution.
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